Association pour le développement d’une image objective de l’insecte auprès du grand public, par des actions de sensibilisation, d’information et de formation pour une meilleure connaissance de la biodiversité des insectes et de leurs interactions avec notre vie de tous les jours
Initialement prévue le 29 mai dernier, nous avions dû annuler cette sortie entomo-photographique du fait des intempéries.
Nous vous la reproposons le mercredi 21 août à 14h30, ce sera donc les Marais de Sacy à Saint-Martin-Longueau, la plus vaste zone humide et tourbeuse de l'Oise, domaine du département de l'Oise géré par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France.
Ouvert à tous et gratuit
Sur inscription uniquement au 06 25 00 21 26 ou lagriondeloise@orange.fr
RV mercredi 26 août à 14h30 sur le parking des marais (sera confirmé aux inscrits)
Prévoir des chaussures de marche
Possibilité de co-voiturage à partir de Verneuil-en-Halatte et Pont-Sainte-Maxence
Nota: il est bien sûr possible de participer à cette sortie sans faire de photos.
L'Agrion de l'Oise vous propose depuis le 1er juin de participer à la 11ème édition de son concours photo "Insectes de France"
Jusqu’au 10 septembre à minuit, que vous soyez photographe amateur, passionné de macrophotographie ou débutant, et tout particulièrement si vous avez moins de 18 ans, l'Agrion de l'Oise attend vos trois meilleures photos d’insectes.
Ce concours -réservé aux amateurs - est gratuit sans obligation d’adhésion ou d’achat.
Deux catégories sont proposées :
Plus de 18 ans.
Jeunes de moins de 18 ans
Chaque Participant pourra présenter un maximum de 3 photographies à envoyer de préférence en fichier jpg et à au plus 1 Mo. Les fichiers en qualité maximale seront à nous faire parvenir en cas de sélection.
Le Jury se réunira fin septembre pour attribuer ses prix et sélectionner les photos qui seront soumises au vote du public, à l'occasion d'une exposition du 19 au 26 octobre, jour de la remise des prix. En 2023, nous avons compté plus de 1500 votes de la part du public.
Les lauréats 2023 ne pourront participer au Prix du Public mais pourront se voir décerner un prix d'honneur. le jury pourra éventuellement attribuer une récompense à des photos intéressantes sur un plan entomologiques, mais non justifiables d'un prix du Jury ou du Public.
Je vous ai présenté dans un précédent article les lépidoptères photographiés au Falisson sur le Causse de Sauveterre au cours d'une sortie de deux heures à peine. Mais ce jour-là il n'y a bien sûr pas eu que des lépidoptères. A peine en chemin je tombe sur de petits insectes, a priori des diptères, à abdomen jaune citron que je n'avais encore jamais vus.
Il s'agit de Sciara hemerobiodes ou S. analis. Siara est un genre de diptères de la famille des Sciaridae qui compte 700 espèces. Ce sont de petites mouches - 3 à 4 mm à peine - à antennes longues et hautes sur pattes, proches physiquement des moustiques. Elles se nourrissent de matières en décomposition et de champignons. Pour S. analis le site de l'INPN ne donne que 3 spots en France et pas en Lozère. Sans doute que pas grand monde ne s'intéresse à ces bestioles qui m'ont tapé dans l’œil.
Je passe sur la coccinelle, le premier coléoptère qui a suivi.
Voilà un coléoptère un peu plus intéressant. C'est Mylabris variabilis., le Mylabre inconstant de la famille des Méloidés, qui côtoie sur une scabieuse un autre coléoptère plus petit non identifié, peut être un Lepture fauve... Son nom Mylabris provient du grec et désigne des insectes des boulangeries et des moulins. Pourquoi "inconstant"? ce serait du au polymorphisme de l'espèce.
Le Mylabre variable se trouve dans le sud de la France dans les biotopes ouverts ensoleillés, prairies, lisières. L'imago se nourrit de pollen en volant de fleur en fleur. La ponte se fait dans le sol et les larves parasitent les œufs des criquets. Ses bandes jaune et noir sont aposématiques, signalant un danger pour les prédateurs. En effet l'insecte sécrète de la cantharidine provoquant des irritations cutanées, des dommages rénaux ou des problèmes digestifs en cas de contact ou d'ingestion.
Jaune et noir également, c'est un ou une Lepture tacheté(e), le mot a les deux genres. C'est Rutpela maculata, un coléoptère de la famille des Cérambycidés (ou Longicornes). Les adultes se nourrissent de pollen et de nectar. Ils pondent dans du bois pourri qui nourrira leurs larves. Selon Wikipedia ils (oui elles) auraient une préférence pour les fleurs blanches, notamment les ombellifères, là c'était une scabieuse mauve.
Bien que coloré comme le Mylabre, il ne serait pas toxique. Mimétisme peut être ?
Sur une fleur d'achillée, voici un orthoptère, la Grande Sauterelle verte, Tettigonia viridissima. Il semble que ce soit un jeune mâle n'ayant pas encore accompli toutes ses mues (pas d'ailes).
A ses côtés deux Lepture fauves, Paracorymbia fulva, aux mœurs proches de son cousin, le Lepture tacheté, vu auparavant.
Belle surprise pour moi que cet Ascalaphe soufré, Libelloides coccajus, Je ne l'avais jamais photographié en France. le seul que j'avais vu c'était dans les Pouilles au sud de l'Italie. Son nom latin montre qu'il est voisin par l'aspect des Libellules. En fait cela n'a rien à voir. Ce n'est ni un papillon, ni une libellule. Il fait partie de l'ordre des Névroptères, de la famille des Ascalaphidés.
Cet insecte fréquente les biotopes chauds et secs, notamment les prairies proches d'arbres. Il aime se chauffer au soleil les ailes étalées. Son vol est rapide et ondoyant. Il capture les petits insectes en vol. Il pond dans le sol et ses larves ressemblent à celles des fourmilions, sont prédatrices d'insectes et vivent dans la litière et sous les pierres.
Sur cette scabieuse on se bouscule avec en haut un papillon, une espèce de Zygène, le Procris de l'oseille, que nous avons présenté dans notre précédent post. Il côtoie des coléoptères, au centre un Lepture fauve, les deux autres pourraient être des Oedemères nobles. Autre Lepture fauve sur la photo ci-contre.
Revoilà la Grande Sauterelle verte (toujours un juvénile) avec à ses côtés, un coléoptère noir, que je n'identifie pas. J'ai trouve quelque chose qui y ressemble : Mordella aculeata, de la super-famille des Tenebrionoidea, communément appelés coléoptères sauteurs, du fait de leur mode de fuite devant un prédateur. Je ne l'ai cependant pas vu sauter à ma vue. Mais m'a-t-il seulement vu ?
Sur le bout de la branche, un Clytre. C'est Clytra laeviuscula, le Clytre des saules ou Clytre à grandes taches, un coléoptère de la famille des Chrysomélidés. L'insecte vis dans les prairies sèches et se nourrit de feuilles de saules (je n'ai pas identifié l'arbre...). Il pond ses œufs dans une boite qu'il dépose près d'une fourmilière. Les fourmis vont utiliser la boite comme matériau. Les larves vont se développer aux dépenses des fourmis, consommant leurs restes, leurs œufs et leurs larves.
Ce petit coléoptère jaune est l'Alléculle citron, Cteniopus sulphureus, de la famille des ténébrions. Ses larves se développent dans le bois mort. L'imago est floricole se nourrissant de nectar.
Sur un bouton de chardon, ce sont des punaises Hadrodemus m-flavum, hémiptère de la famille des Miridae, implantée sur le pourtour méditerranéen, mais probablement présente dans toute la France ; elle a été repérée dans l'Oise. Larves et adultes sucent la sève des plantes. Ses élytres dessinent un M jaune, d'où son nom m-flavum.
Encore une pléiade de coléoptères sur une même fleur : je note un Lepture fauve (deux même in copula), un Clytre à grandes taches, et deux Scarabeidés : au centre, noire avec des petites taches blanches, une Cétoine funeste ou C. grise, Oxythyrea funesta,et en dessous vu partiellement sur la photo, une insecte qui pourrait être comme me le montre une des mes photos de bien médiocre qualité, imprésentable sur ce blog, la Cétoine punaise, Valgus hemipterus, sous-famille des Cetoniinae; tribu des Valgini. Ces cétoines, comme la Cétoine dorée, ont de grosses larves qui se développent dans les matières en décomposition.
Là dans ma main, c'est le Hanneton noir, Amphimallon ater ou A. atrum, autre Scarabéidé de la famille des Melolonthinae comme notre hanneton commun. Je note que certains sites internet font la confusion avec le hanneton des jardins. Les hannetons adultes consomment des feuilles et des fleurs, leurs larves vivent dans le sol et consomment des racines. On trouve le hanneton noir dans l'Oise, il a été vu du côté de Béthisy-Saint-Pierre notamment.
Voilà une belle libellule observée à la lavogne (ancien abreuvoir) dans le hameau. C'est Libellula depressa, la Libellule déprimée. Elle chasse au-dessus de l'eau et de temps en temps se pose à son point d'observation. C'est ici un mâle adulte. La femelle est brun et jaune avec des taches jaunes sur les côtés.
Sur la lavogne, il y a aussi l'Agrion jouvencelle, Coenagrion puella, qu'on connait bien dans l'Oise.
je voudrais encore vous monter pour finir un autre coléoptère. celui-là je l'ai photographié plus tard dans la journée sur les pentes du Mont-Lozère. C'est la Cicindèle champêtre, Cicindela campestris. C'est un chasseur redoutable d'une grande rapidité et d'un appétit féroce. Elle attrape ses proies à la course et effectue des vols courts en cas de danger. Sa larve, également carnivore, vit dans un terrier vertical où elle attend qu'une proie passe à sa portée. Nous en photographions dans l'Oise, notamment dans les parties sablonneuses de la Pierre Glissoire.
En vacances sur le Causse de Sauveterre, il me fallait photographier les insectes.
Voici une première parution avec quelques lépidoptères que j'ai eu le plaisir de rencontrer.
Le premier que j'ai croisé était pour moi a priori une Sylvaine, Ochlodes sylvanus, comme celle ci-contre photographiée, trois jours avant, sur un œillet dans mon jardin dans l'Oise.
Mais en y regardant de plus près, il s'avéra être l'Hespérie du dactyle ou Fauvet ligné, Thimelicus lineola, de la sous-famille des Hesperiinae comme la Sylvaine, présente en Lozère avec 4 autres de la même sous-famille. On peut facilement se tromper. A noter que Comme toutes les espèces de la famille des Hesperiidae, ses ailes antérieures sont partiellement redressées quand elle est posée. Notez que le dactyle est un genre de plante de la famille des Poaceae, qu'on appelait autrefois graminées et d'ailleurs au Canada ce papillon est appelé Hespérie des graminées. Mais ici, notre Hespérie butine une fleur de vipérine Echium sp.
Puis ce sera un Myrtil, Maniola jurtina, un papillon du genre Maniola, de la famille des Nymphalidae, sous -famille des Satyrinae, tribu des Satyrinii. Ses plantes hôtes sont également les Poaceae, mais nous voyons qu'il ne dédaigne pas les scabieuses, fleurs d'ailleurs très fréquentées ici tant par les lépidoptères que par les coléoptères... comme on va le voir. A droite un Myrtil au sol, ailes ouvertes.
Et oui sur cette scabieuse, un Thècle de l'amarel, ou Thècle de l'acacia, Satyrium acaciae, cohabite ans problème avec un Oedemère noble, Oedemera nobilis, aux gros fémurs. Ce lépidoptère appartient à la famille des Lycaenidae, sous-famille des Theclinae. Il fréquente les bois et les clairières et apprécie tout particulièrement les pruneliers ; l'amarel en est un, alors pourquoi l'appelle-t-on Thècle de l'acacia ? Va savoir.
Ici sur une graminée, un Petit Argus ou Azuré de l'ajonc, Plebejus argus, de la famille des Lycaenidae comme le Thècle, mais de la sous-famille des Polyommatinae. Ces papillons étaient très nombreux. Etaient-ils tous des Azurés de l'ajonc. J'en doute un peu.
Les zygènes foisonnaient sur les scabieuses. Mais je vous propose d'abord cette Zygène de la filipendule, Zygaena filipendulae, sur une fleur d'églantier. On l'appelle aussi Zygène de la spirée, du pied-de-poule, des lotiers et même Sphinx bélier, mais moi j'aime bien le mot filipendule. En fait il s'agit de la Spirée filipendule, espèce de plantes à fleurs de la famille des Rosaceae, pas étonnant alors de le trouver ici sur une églantine. Mais attention Z. Filipendulae ne peut être pas distinguée de Z. lonicerae sans l'examen des genitalia.
Il y a bien d'autres espèces de Zygènes sur le Causse, toutes de la famille des Zygaenidae. Le site lepinet.fr annonce pour la Lozère 16 espèces de Zygaeninae et 6 espèces de Procridinae
Mais celle-ci est aussi une Zygéne de la filipendule qui s'oppose sur une scabieuse à un grand papillon, le Gazé ou Piéride de l'aubépine, Aporia crataegi, de la famille des Pieridae, sous-famille des Pierinae, lui aussi amateur des pruneliers.
Mais les plus nombreux étaient ce jour-là incontestablement les Demi-deuils, Melanargia galathea, de la famille des Nymphalidae, sous -famille des Satyrinae, tribu des Satyrinii tout comme le Myrtil, mais d'un autre genre, le genre Melanargia. Ces deux lépidoptères sont pourtant de dessins très différents. Chez le Demi-deuil, les dessins du mâle sont plutôt noirs, ceux de la femelle plutôt bistres. J'espère ne pas avoir fait la confusion avec l'Echiquier ibérique, Melanargia lachesis, qui lui ressemble fort et qui est très présent sur le pourtour méditerranéen. Il ne serait toutefois pas présent en Lozère éloignée de la Grande Bleue.
Pour celui-ci je pensais avoir affaire à une Zygène. En y regardant de plus près c'en était bien une, mais pas celle de la filipendule. C'était la Zygène pourpre, Zygaena purpuralis. La chenille se nourrit de thym (Thymus serpyllum, T. vulgaris)
On peut la confondre avec la Zygène de l'orobe, mais cette-dernière ne semble pas présente en Lozère,
J'ai aussi photographié quelques jours plus tard à proximité cette autre Zygène, qui s'avère être la Z. à col rouge, Zygaena fausta. Le site lepinet.fr me dit que le nom de Zygène de la bruyère, biologiquement incorrect, est à éviter, de même que celui de Zygène de la Coronille qui désigne couramment et judicieusement Z. ephialtes. Effectivement une identification rapide sur un autre site m'avait donné Z. de la petite coronille, Cette dernière est noir avec des taches rouges, en nombre moindre que la Z. de la filipendule. Là où il y a de la Zygène, il y a a du plaisir...
Je l'avais d'abord identifié comme étant le Sylvandre helvétique, Hipparchia geneva, Satyrinae proche du Myrtil et du Demi-deuil rencontrés auparavant. En fait celui-ci ne serait pas présent et ce serait plutôt le Petit Sylvandre, Hipparchia alcyone, qui en est très proche impossible à différencier de H. genava sans l'examen des organes de Jullien. le site lepinet.fr me dit que ce taxon a été désigné à tort par Fauna Europaea (FE) sous le nom d'Hermione, reprenant une erreur ancienne. La chenille apprécie les graminées ou Poaceae comme on dit maintenant.
Je crois que celui-ci est Le Souci (Colias crocea ou Colias croceus), une espèce migratrice de la famille des Pieridae, sous-famille des Coliadinae. Les plantes hôtes de la chenille sont des légumineuses, luzerne ou trèfle. Mais ce pourrait bien être le Fluoré (Colias alfacariensis) qui lui ressemble beaucoup, voire même le Soufré (Colias hyale) mais il n'est pas référencé en Lozère. Une photo du revers m'aurait peut-être aidé, mais ce papillon se pose toujours ailes fermées;
Le Procris de l'oseille (Adscita statices), aussi appelé la Turquoise ou Turquoise de la sarcille, est une Zygène. Il fait partie de la famille des Zygaenidae, mais d'une autre sous famille que les précédentes zygènes, celle des Procridinae. Sa plante de prédilectionest l'oseille, Rumex acetoqa. Mais comme il y a 6 espèces de cette sous-famille, dont trois d'un bleu métallique assez proche, j'ai pu confondre. Désolé.
Ce petit papillon aux très longues antennes est l''Adèle de la scabieuse ou l'Adèle métallique, Nemophora metallica, de la famille de Adelidae. Il est très commun en France. Sa chenille se nourrit sur la Scabieuse colombaire ou sur la Knautie des champs, deux espèces de scabieuses.
La Mélitée orangée (Melitaea didyma) est un beau grand papillon de la famille des Nymphalidae, sous-famille des Nymphalinae. Dommage que je n'ai pas pu photographier ce papillon ailes fermées. C'est le seul que j'ai pu immortaliser, car je n'en ai pas vu d'autres. La Mélitée orangée fréquente les lieux herbus fleuris, prairies, bords de chemins. Ses plantes-hôtes sont nombreuses : linaires, plantains, valérianes, véroniques, digitales.
Sur un brin d'herbe, ce géomètre est l'Acidalie des alpages ou Acidalie double-ceinture, Idaea aureolaria, famille des Geometridae, sous-famille des Sterrhinae. Sa chenille, qui faite partie des chenilles arpenteuses vu leur mode de déplacement, se nourrit sur les plantes basses, surtout légumineuses.
Tous ces lépidoptères ont été photographiés le 7 juillet 2024 entre 10 h et midi sur le Causse de Sauveterre au Falisson, commune de Sainte-Bauzile, Lozère. C'est un endroit proche des terres exploitées surtout pour la récolte de foin; proche de la forêt domaniale de Mende à une altitude moyenne de 850 m.
Prochainement je partagerai mes photos d'autres insectes pris le même jour sur le même site d'une richesse incroyable par rapport à nos espaces de l'Oise.
L'Agrion de l'Oise propose une sortie photo à la découverte des insectes des étangs du Plessis Brion le mercredi 24 juillet 2024.
Les étangs de Le Plessis Brion sont situés à quelques dizaines de mètres de la rivière Oise. Anciennes gravières, ils étaient devenus une réserve ornithologique. Un observatoire y avait d’ailleurs été installé en 2003. Rapidement la commune, puis la Communauté de Communes des Deux Vallées (CC2V) se sont intéressées à la mise en valeur des étangs pour en faire un site touristique tout en préservant ses qualités environnementales.
Ouvert à tous et gratuit
Sur inscription au 06 25 00 21 26 ou lagriondeloise@orange.fr
RV mercredi 24 juillet à 14h30 sur le parking rue de Clairoix au Plessis Brion (sera confirmé aux inscrits)
Prévoir des chaussures de marche
Possibilité de co-voiturage à partir de Verneuil-en-Halatte et Pont-Sainte-Maxence
Nota: il est bien sûr possible de participer à cette sortie sans faire de photos.
L'Agrion de l'Oise vous propose mercredi 10 juillet à 14h30 une sortie sur le Sentier de la Biodiversité à Verneuil en Halatte.
Un parcours facile de 2400 m agrémenté de panneaux sur la faune et la flore avec nos guides naturalistes de la Mare aux Daims jusqu'aux vestiges du Château.
Gratuit - ouvert à tous
s'inscrire au 06 25 00 21 26 ou lagriondeloise@orange.fr